Andrew Flower et Matthias Cazier-Darmois ont rejoint le bureau parisien d’HKA et sont chargés, aux côtés des autres membres de l’équipe, du département juricomptabilité et dommages commerciaux (Forensic Accounting and Commercial Damage – FACD).

Ensemble, ils apportent à HKA près de 45 ans d’expérience en matière d’arbitrage international. Les deux associés ont travaillé auparavant pour des cabinets rivaux : Andrew Flower a travaillé pour Alvarez & Marsal, FTI Consulting et Deloitte et Matthias Cazier-Darmois pour FTI Consulting et Deloitte.

De son côté, Andrew Flower cumule plus de 30 ans d’expérience dans le domaine de l’expertise en arbitrage international, qu’il s’agisse d’arbitrage de droit commercial ou d’arbitrage entre investisseurs et États. Il a participé à plus de 200 arbitrages menés sous les auspices des plus grandes institutions, notamment la chambre de commerce internationale (ICC), le centre international de règlement des différends (ICDR), le centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (ICSID), le centre d’arbitrage international de Dubaï (DIAC), l’nstitut d’arbitrage des Pays-Bas (NAI), l’institution allemande d’arbitrage (DIS), l’organisation de la coopération islamique (OIC) et sous les règles de la Commission des Nations unies pour le droit commercial international (UNCITRAL).

Matthias Cazier-Darmois compte quant à lui près de 20 ans d’expérience en matière d’expertise et d’évaluation dans le cadre de litiges commerciaux complexes et d’arbitrages internationaux. Il évalue régulièrement les dommages pouvant résulter de ruptures de contrats ou de traités internationaux. Il est intervenu dans plusieurs procédures d’arbitrage commercial et d’investissement, en vertu des règles du centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (ICSID), de la commission des Nations unies pour le droit commercial international (UNCITRAL), de la chambre de commerce internationale (ICC), de la cour d’Arbitrage Internationale de Londres (LCIA), de la SCC ou du centre belge d’Arbitrage et de Médiation (CEPANI), ainsi que dans des arbitrages ad hoc dans un large éventail de secteurs, notamment l’exploitation minière, l’énergie, la production d’électricité et les télécommunications.